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fondation jean jaurès - Page 21

  • Fondation Jean Jaurès - Appel à la solidarité avec le Brésil : la démocratie en danger

    La Fondation Jean-Jaurès, membre du Comité international pour la libération de Lula et la démocratie au Brésil, parraine un appel à défendre les libertés et les droits humains menacés par un candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle. La Fondation, au nom de ses engagements démocratiques et républicains, vous invite à participer à cette campagne de solidarité.

    Les puissants de l’économie, des finances, de l’agro-industrie, de l’établissement social et médiatique, soutiennent au Brésil un candidat présidentiel, Jair Bolsonaro, qui propose un grand retour en arrière.

    Un retour vers un Brésil de violences, un Brésil raciste, xénophobe, misogyne, intolérant, inégalitaire, des privilégiés, hier maîtres des habitations et reléguant les esclaves dans leurs cases.

    Le Brésil a reconquis dans la douleur ses libertés après vingt-un ans de dictature militaire. De 1964 à 1985, les Brésiliens ont vécu tortures, assassinats, disparition, incarcérations, exil, suspension de la liberté d’expression, du droit de manifester, du droit de s’organiser.

    Jair Bolsonaro fait l’apologie publique de la dictature, de la torture, du viol, du meurtre, de l’intolérance. Plaçant son Dieu vengeur et cruel au-dessus de la démocratie et des hommes, il refuse le débat avec son adversaire du deuxième tour.

    L’enjeu du deuxième tour, le 28 octobre 2018, va bien au-delà des étiquettes partisanes. Ce qui est en jeu, ce n’est ni le Parti des travailleurs de Haddad et Lula, ni le PSL de Bolsonaro. C’est la liberté, la vie, la sécurité, la dignité, la démocratie.

    Nous, démocrates français du Comité de solidarité internationale en défense de Lula et de la démocratie au Brésil, affirmons : sauver la démocratie brésilienne aujourd’hui, c’est voter sans état d’âme Fernando Haddad.

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Quelques chiffres

     
     
    • 9 % des Français se disent proches du PS (14 % LREM et LR ; 13 % FN ; 7 % FI ; 25 % aucun parti)
    • En 2017, 25 % des sympathisants socialistes ont été des électeurs socialistes ; ils étaient plus de 75 % en 2012 et 2015
    • 59 % des sympathisants du PS jugent le bilan d’Emmanuel Macron « assez » ou « très » négatif (55 % chez l’ensemble des Français ; 93 % chez les sympathisants de la FI)
    • 70 % des sympathisants socialistes pensent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement sont trop autoritaires dans la mise en place des réformes et ne laissent pas assez de temps à la négociation (55 % chez l’ensemble des Français, 43 % chez les sympathisants LR, 18 % pour les sympathisants LREM)
    • Pour 89 % des sympathisants du PS, la politique économique et sociale profite avant tout aux catégories aisées (76 % chez l’ensemble des Français, 95 % chez les sympathisants de la FI)
    • 80 % des sympathisants du PS ont le sentiment que le pouvoir politique est soumis aux puissances économiques (79 % chez l’ensemble des Français ; 78 % chez les sympathisants de la LREM)
    • 19 % des sympathisants du PS estiment qu’il faudrait réduire le nombre de fonctionnaires (contre 52 % chez les sympathisants LREM, 66 % chez les sympathisants LR)

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  • Libé - Le Parti socialiste a le «halo» loin du «noyau»

    D’impénitents optimistes en voie de disparition rapide. C’est le portrait-robot des sympathisants socialistes que la Fondation Jean-Jaurès (FJJ) vient d’établir après une enquête auprès d’un millier d’entre eux, issus d’un panel de 12 500 personnes. En 2012, à la victoire de François Hollande, 22% des Français se disaient proches du PS. Six ans et une catastrophe présidentielle plus tard, cette base électorale socialiste - à ne pas confondre avec les militants encartés - a rétréci de plus de moitié : ils ne sont plus que 9%.

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  • Fondation Jean Jaurès - Le socialisme municipal de la Commune à la Grande Guerre

    Patrizia Dogliani, professeure d’histoire contemporaine à l’université de Bologne, publie Le socialisme municipal en France et en Europe de la Commune à la Grande Guerre (Arbre bleu, 2018), un ouvrage issu de sa thèse enfin disponible en français. Les municipalités sont les lieux où les socialistes sont confrontés à la gestion, au pouvoir, à la représentation. Elle en débat avec Emmanuel Jousse, docteur en histoire, auteur récemment de Les hommes révoltés (Fayard, 2017).

  • Fondation Jean Jaurès - Les enjeux de la francophonie

    Le sommet de l’Organisation internationale de la francophonie, qui s'est tenu les 11 et 12 octobre 2018 à Erevan (Arménie), est l’occasion de revenir sur les nouveaux enjeux liés à la francophonie, son avenir, ses possibles réformes et projets, alors que Louise Mushikiwabo, ministre des Affaires étrangères du Rwanda et très proche du président Kagame, a été désignée nouvelle secrétaire générale de l’organisation. La Fondation ouvre le débat en réunissant : - Kako Nubukpo, universitaire, chercheur au Cirad, ancien directeur de la francophonie numérique et économique à l’OIF et ancien ministre, - Caroline Roussy, docteure en histoire de l’Afrique contemporaine. La rencontre est animée par Alexandre Minet, coordinateur du secteur International de la Fondation. Retrouvez la note "Pour une francophonie de l’action" de Kako Nubukpo et Caroline Roussy (Fondation Jean-Jaurès, 20 septembre 2018) : https://jean-jaures.org/nos-productio...

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants de La République en marche

    En s’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, présente une étude inédite qui dresse le portrait-robot des sympathisants de La République en marche. Cette étude, menée à partir d’un échantillon de près de 1700 personnes, permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

  • Fondation Jean Jaurès - Les 60 ans de la Ve République

    La Ve République a 60 ans. Jean-François Sirinelli, professeur émérite d’histoire contemporaine, revient dans Vie et survie de la Ve République. Essai de physiologie politique (Odile Jacob, 2018) sur l’histoire de ce régime, les contextes qui l’ont fait évoluer et les lignes de force qui l’animent. Il en débat à la Fondation Jean-Jaurès avec Émeric Brehier, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation.

  • Fondation Jean Jaurès : Individualisme, communautarisme ou républicanisme : quelle politique à l'âge identitaire ?

    La politique, et notamment les progressistes, ont-ils déserté le bien commun au profit des questions identitaires et morales ? Est-ce la raison de la défaite de la gauche aux États-Unis ? De la faiblesse des partis progressistes en Europe ? On en débat à la Fondation Jean-Jaurès à l’occasion de la venue en France de Mark Lilla, historien des idées, professeur à l’université Columbia, qui présente son nouvel essai "La Gauche identitaire. L’Amérique en miettes" (Stock, 3 octobre 2018). La rencontre, en partenariat avec le think tank L'Aurore, est animée par Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.

  • Fondation Jean Jaurès - Individualisme, communautarisme ou républicanisme : quelle politique à l'âge identitaire ?

    La politique, et notamment les progressistes, ont-ils déserté le bien commun au profit des questions identitaires et morales ? Est-ce la raison de la défaite de la gauche aux États-Unis ? De la faiblesse des partis progressistes en Europe ? On en débat à la Fondation Jean-Jaurès à l’occasion de la venue en France de Mark Lilla, historien des idées, professeur à l’université Columbia, qui présente son nouvel essai "La Gauche identitaire. L’Amérique en miettes" (Stock, 3 octobre 2018). La rencontre, en partenariat avec le think tank L'Aurore, est animée par Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.